
mercredi 27 février 2008
mercredi 20 février 2008
Tremblez, pédérastes !
JERUSALEM 20/02 (AFP) - Les homosexuels sont responsables de la vague de tremblements de terre qui ont secoué Israël ces derniers mois, a affirmé mercredi à la Knesset (Parlement) un député israélien religieux orthodoxe.
"Nous cherchons des solutions terre à terre pour nous prémunir contre les effets des séismes, et moi je propose un autre moyen: le Talmud nous dit que l'une des causes des secousses telluriques --que la Knesset (Parlement) a légitimée-- c'est l'homosexualité", a déclaré Shlomo Benizri, un des 12 élus du Shass, sur 120 députés à la Chambre.
La Knesset a légalisé l'homosexualité en 1988, et divers textes de loi ont ensuite reconnu les droits des membres de la communauté gay.
"Dieu a dit qu'il agiterait le monde pour vous réveiller si vous agitez vos parties génitales là où vous n'êtes pas sensés le faire", a expliqué M. Benizri devant une commission du parlement qui examinait les mesures de protection contre les effets des séismes. "Le Talmud indique que les tremblements de terre sont véritablement une chose terrible", a-t-il poursuivi, soulignant que la tradition religieuse juive considère l'homosexualité comme une "abomination".
Faire-part
Base et sa liberté de parler payante
Proximus, ses 300 sms gratuits et ses tendinites du pouce
Belgacom et son monopole privé
Bluetooth et ses micro-ondes négatives
La famille haut-parleurs et sa mauvaise qualité
Les presque sourds et ceux qui crient
dimanche 17 février 2008
Pan

Les autres n'ont qu'à chercher la leur.
Ton bonheur, c'est un Smith & Wesson calibre 357 Magnum, modèle 686, 6 pouces, 6 balles, une bête.
Toi, tu as choisi.
Ce qui est plutôt bien.
Vendredi. Midi. Tu es couché dans ton ex-lit. Nu. Armé. Bourré.
Avant.
Tu étais au summum de ta vie : bon boulot, acheteur ; beau corps, 2 heures de fitness par semaine ; belle femme, brune, gros seins ; beaux enfants, des faux jumeaux, Jeanne et Victor ; belle bagnole, une mercedez class c break ; belle maison, 3 façades, voisins bourgeois sympas. Et ton sport préféré, la chasse. Ah que tu aimais ces fins de journée où, dans la cabane entre mecs, vous vous saoûliez en racontant des blagues cochonnes. Tu avais tout ce qu'on peut désirer. Et malgré cette misère sentimentale, sociale et culturelle, tu nageais dans le bonheur. Un bonheur plastique, superficiel, celui recommandé par toutes les chaînes télés.
Ding. Premier arrêt. Ton patron. Il te surprend en train de baiser sa femme, licenciement, 3 mois de préavis. Cornard.
Ding. Deuxième arrêt. Ta femme. Elle apprend le tout par une ex-collègue, licenciement, 2 heures de préavis, le temps de faire ta valise. Salope.
Ding. Troisième arrêt. Ton banquier. Il conseille ta femme, pas de préavis, comptes bloqués. Enfoiré.
Ding. Terminus. La rue. Avec ton doggy bag et ton 686. Tu es seul. Tu n'as plus d'amis. Crapules.
Ton ex-maison. Pan. La serrure ne résiste pas au calibre .357. Personne. Pas de bière dans le frigo mais du vin blanc. Mouton Rothschild 2003 à 50 euros la bouteille. Elle sait faire la fête.
Poûp. Au goulot. Glouglou. Cul sec. Re-poûp. Une deuxième, en douceur. C'est quant même un petit Jésus en culotte de velours qui te glisse sous la glotte.
Tu montes dans les chambres. Votre chambre. Ton ex-chambre.
Tu as bien fait de repeindre les murs couleur sang de boeuf l'été dernier. Ça fera moins sale quand elle viendra se coucher près de toi ce soir.
L'ascenseur qui mène de l'enfer au paradis ne fait pas "Ding" mais
Pan.
jeudi 14 février 2008
lundi 11 février 2008
mercredi 6 février 2008
La clé... de la petite porte
LONDRES, 6 fév 2008 (AFP) - Un étudiant britannique a avalé la clé de sa chambre pour éviter que ses amis ne le ramènent chez lui de force parce qu'il était ivre, ont rapporté mercredi plusieurs journaux.
"D'après ce que j'ai compris, j'avais trop bu ce soir-là", a raconté l'étudiant, Chris Foster, 18 ans, à la Basingstoke Gazette. "Mes amis m'ont dit qu'il fallait que j'arrête et que je rentre chez moi. Mais je voulais rester faire la fête, j'ai donc avalé ma clé d'un coup pour rigoler".
Il a passé la nuit sur le canapé d'un ami, mais ne se souvenait de rien à son réveil le lendemain matin, et il ne retrouvait plus sa clé. "Je pensais que mes amis me faisaient une blague quand ils m'ont dit que je l'avais avalée", a déclaré Chris Foster au Daily Mail.
Lorsque cet étudiant en informatique à l'Université de Bournemouth (sud) a commencé à ressentir des douleurs à l'estomac et dans la gorge, il s'est présenté à l'hôpital où il a eu la surprise de voir sur une radiographie que la clé d'environ
Les médecins ont conseillé au jeune homme de laisser la nature suivre son cours, et la clé a fait sa réapparition à l'air libre 31 heures plus tard.(...)
mardi 5 février 2008
petites phrases sans importance
je crie parce que je sue
les carottes sont crues
le noeud plus gros au levant
Dieu est amour
Et Jésus change le beurre en vaseline
Dieu est in
HF Thiéfaine
il mange comme il pète
vlaams : beuh ! (langue)
"Adhérer c’est l’idéal des mollusques"
Vernau
la nation pue du fion
le devoir de paresse
qui a fait kafka dans la libido ?
pire que ne rien faire : trop faire
pouffez de rire aux enterrements
le roi n'est ni la loi, ni la liberté (air connu dans le Brabant)
un, deux, trois,
nous ferons un doigt
vous mangez tout nu
pissez comme une vache qui pleure
jgfkqj zerriopa;v ;zeqs qzdk or oozeroazerijzeen
un foetus de paille
ingrARTitude
s'essuie celui qu'est laid
je suis ton père
Darth Father
une prout vaut mieux que deux strongs tu auras
un clavier azerty en vaut qwerty
l’avion fume des bâtons de chaises turques
la cuisine éteint l’appétit qui vient
le vélo pimponne après les sourds
le bus suce l’anus
un verre sauve la terre
la colle grimpe vers les oreilles
la moumoute étouffe le chevelu
le pigeon conduit droit dans le mur
une porte arrose en grinçant les passants
la tombe pompe tout le monde à la ronde
vendredi 1 février 2008
Stieg Larsson - Milénium 1 - Les hommes qui n'aiment pas les femmes

Enfin un bon achat compulsif !
Je vais me faire toute la série.
jouissif, cette enquête économico-policière dans une Suède où le froid ne tue pas toutes les bactéries, virus et autres "petites" bêtes qu'on préfèrerait ne pas rencontrer. Comme un sérial killer ou un homme d'affaire pas très net (est-ce un pléonasme !?)
Editeur